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Minsk et Téhéran signent un contrat sur la production de pétrole en Iran. septembre 5, 2007

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L’Iran et la Biélorussie ont signé un contrat en vertu duquel la compagnie pétrolière Belarusneft pourra produire de pétrole sur le gisement iranien de Jofeir, a rapporté un porte-parole de la société biélorusse contacté par RIA Novosti mercredi.

Le contrat a été signé par le directeur général de Belarusneft, Alexandre Liakhov.

« Le coût des deux phases du contrat s’élève à près de 450 millions de dollars et il est prévu que notre société pourra produire jusqu’à 40.000 barils de pétrole par jour au stade final de la réalisation du projet », a précisé le porte-parole de Belarusneft. Selon lui, les investissements dans le projet seront réalisés dans les proportions prévues par le contrat pour Belarusneft et la Compagnie pétrolière nationale d’Iran.

Début mai, les deux sociétés avaient concerté le plan général d’aménagement du gisement. Les spécialistes biélorusses avaient mené l’estimation des réserves de Jofeir et élaboré la documentation technique nécessaire.

A ce jour, deux puits ont déjà été forés et la prospection géologique de nouvelles couches du gisement sera poursuivie en septembre, selon la société.

En automne 2006, lors de la visite du président biélorusse Alexandre Loukachenko en Iran, Minsk et Téhéran avaient signé un mémorandum de compréhension pour préparer leur coopération dans le secteur de l’industrie pétrolière. Belarusneft compte engager des investissements de la compagnie pétrolière publique vietnamienne PetroVietnam, laquelle pourrait financer à 100% son projet conjoint avec la Biélorussie en Iran. A cette fin, il est prévu d’enregistrer au Vietnam une coentreprise paritaire avec la participation de la société biélorusse. Avec le consentement de Téhéran, la nouvelle compagnie conjointe pourrait mettre en valeur du champ Jofeir situé dans le sud iranien.

 

Source Ria Novosti

Le gaz pollue l’axe Madrid-Alger septembre 5, 2007

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Le pouvoir algérien a révoqué l’alliance établie en 2004 entre Sonatrach et les espagnols Repsol et Gas Natural pour exploiter le gisement de Gassi Touil.

Le torchon brûle à nouveau entre l’Algérie et l’Espagne dans le domaine énergétique. Le gouvernement d’Alger vient en effet de révoquer l’accord de 2004 qui prévoyait l’expoitation conjointe du principal gisement de gaz du pays, celui de Gassi Touil, dans l’est du Sahara, par un consortium formé par la Sonatrach et deux compagnies hispaniques, Repsol et Gas Natural . Une révocation  » illégitime « , ont affirmé dans un communiqué ces deux dernières, qui auront recours à un arbitrage international. L’affaire place dans une position délicate l’Espagne, qui reçoit de l’Algérie près de 35 % du gaz qu’elle consomme.

La formation du consortium entre la Sonatrach (35 % du capital), Repsol et Gas Natural (39 et 26 % respectivement) constituait une  » première  » en Algérie s’agissant d’un projet intégré, c’est-à-dire incluant toutes les phases de la production, depuis l’exploration jusqu’au transport par mer. L’accord avait été emporté de haute lutte par les Espagnols face aux principales  » majors  » européennes, intéressées par un projet de grande importance portant sur trente ans et prévoyant 5,1 milliards d’euros d’investissement.

Pour justifier son revirement, le gouvernement algérien argue des retards enregistrés du côté espagnol dans l’exécution du projet : moins de 10 % du total des investissements prévus ont jusqu’ici été réalisés. Les Espagnols, en outre, tentaient de revenir sur les termes initiaux de l’accord en assurant que les coûts étaient supérieurs aux prévisions.

UN CHOIX POLITIQUE

Reste que la décision algérienne semble répondre également à d’autres motivations. Depuis 2004, le pays a vu bondir le prix des hydrocarbures, et sa capacité d’exploiter seul ses propres ressources est donc désormais clairement supérieure à ce qu’elle était en 2004. En outre, au niveau politique, les relations entre l’Algérie et l’Espagne n’ont cessé de se détériorer. Depuis leur arrivée au gouvernement à Madrid en 2004, les socialistes ont clairement infléchi la politique maghrébine du pays au profit du Maroc, abandonnant virtuellement à leur sort les Sahraouis. Ce qui a suscité un vif mécontentement au sein du gouvernement algérien, qui maintenait paradoxalement de bien meilleures relations avec les conservateurs de José María Aznar. Un mécontentement qui s’était déjà traduit par plusieurs divergences à propos du gazoduc Medgaz en construction sous la Méditerranée et qui unira le gisement de Hassi R’mel à Almería. Un accord en juillet semblait avoir aplani les différends. Ils semblent subsister…

 

Source La  Tribune

 

Le Kazakhstan fera jeudi une annonce sur Kashagan septembre 5, 2007

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Le Kazakhstan fera jeudi une annonce concernant l’avenir du gisement pétrolier de Kashagan, qui fait l’objet d’un contentieux avec le pétrolier italien Eni chargé de piloter l’exploitation du projet, a annoncé mercredi le premier ministre kazakh.

« Je vais m’exprimer demain à la conférence Kazenergy et parlerai de Kashagan », a déclaré Karim Massimov à la presse.

L’Etat d’Asie centrale a ordonné le 27 août la suspension pour trois mois des travaux à Kashagan après un différend sur les délais de début de production et des dépassements de coûts.

Le Kazakhstan réclame plus de 10 milliards de dollars (7,4 milliards d’euros) d’indemnités au consortium chargé du développement de ce gisement géant, dans la mer Caspienne, a déclaré mardi un membre du gouvernement.

Le consortium emmené par Eni réunit également Royal Dutch Shell , Exxon Mobil , Total , ConocoPhillips , le japonais Inpex Holdings et le pétrolier public kazakh KazMunaiGas .

Un haut responsable d’Eni, Stefano Cao, cité par des journaux italiens, a jugé les discussions avec le Kazakhstan « ouvertes et constructives » et précisé que le groupe traiterait le dossier en accord avec le partage actuel de production en vigueur avec Astana.

Total veut renouer au plus vite le dialogue sur Kashagan

Le directeur général de Total, Christophe de Margerie, a fait de son côté mercredi une priorité d’une reprise du dialogue avec les autorités kazakhes sur Kashagan.
Il est essentiel de ne pas perdre de temps (…) la priorité est à la reprise d’un dialogue rapide avec les autorités de manière à trouver des solutions adaptées », a déclaré Christophe de Margerie.

« Il est clair que ce projet nécessite des clauses contractuelles qui permettent notre rentabilité à long terme. On sera intransigeant sur cette partie . Maintenant clairement, l’environnement a changé, il faut l’accepter », a-t-il ajouté.

« On avait été avertis dès le mois de juin que ceci (les indemnités) allait arriver (…) maintenant ne laissons pas traîner les choses, ne mettons pas la politique dans tout ça, ça n’as absolument aucun rapport, chacun se débrouille pour faire avancer les choses », a poursuivi Christophe de Margerie.

« Je suis prêt personnellement à y aller s’il le faut. On demande souvent aux P-DG de s’occuper de choses beaucoup moins importantes que cela. Il s’agit de plusieurs milliards de dollars pour Total. On ne va pas laisser les choses s’endormir (…) il faut que dans un mois tout cela soit reparti », a-t-il estimé.

Kashagan est au coeur de la stratégie du Kazakhstan qui entend devenir un des dix premiers producteurs mondiaux de brut et doubler sa production au cours de la prochaine décennie.

Le projet a cependant connu de nombreux revers. Le début de la production a été reporté au deuxième semestre 2010, alors qu’il était initialement prévu en 2005. Selon le gouvernement, le coût total de Kashagan a explosé, passant de 57 milliards à 136 milliards de dollars.

Source Reuters

Sonatrach envisage d’entrer dans Cepsa septembre 5, 2007

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Le groupe public algérien d’énergie Sonatrach envisage d’acquérir la participation de 30% de la banque Santander au capital du groupe pétrolier et gazier espagnol Cepsa , rapporte mercredi le quotidien El Mundo.

Au cours de Bourse actuel, cette participation de la banque espagnole vaudrait environ 5,58 milliards d’euros. Le titre Cepsa gagne 1,01% à 70,20 euros vers 9h15 GMT à la Bourse de Madrid.

Santander n’a pas souhaité commenter l’article du journal espagnol.

Le pétrolier français Total possédait au 1er juin 48,83% du capital de Cepsa.

Sonatrach détient déjà 30% du capital de la filiale de marketing de Cepsa dans le gaz. Le groupe algérien a reçu en juillet l’autorisation de vendre jusqu’à deux milliards de mètres cubes de gaz à l’Espagne.

L’Algérie a mis fin lundi à un projet de coentreprise dans le gaz avec les espagnols Repsol YPF et Gas Natural . Ces deux groupes ont demandé un arbitrage international et se réservent la possibilité de demander des dommages et intérêts.

Source Reuters

L’Australie et les Etats-Unis coopèrent dans l’énergie nucléaire civile septembre 5, 2007

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Le Premier ministre australien John Howard a déclaré mercredi que lui et le président américain George W. Bush, en séjour en Australie, étaient tombés d’accord sur un plan d’action nucléaire conjoint pour la coopération dans l’énergie nucléaire civile.

Le plan comprend la recherche et le développement, les techniques et la formation, ainsi que d’autres questions d’ajustement.

Les Etats-Unis soutiendront également la demande de l’Australie de devenir membre d’un forum international pour développer les systèmes d’énergie nucléaire de nouvelle génération.

« L’Australie a l’intention de participer au partenariat d’énergie nucléaire global et il y aura de grands bénéfices en termes d’accès à la technologie nucléaire et à la non- prolifération », a indiqué M. Howard lors d’une conférence de presse conjointe avec M. Bush donnée à l’issue d’une rencontre entre les deux dirigeants à Sydney.

« Les Etats-Unis soutiendront l’adhésion de l’Australie au Forum international de génération IV qui comprend la recherche et le développement pour développer de meilleurs réacteurs nucléaires et plus sûrs », a-t-il ajouté.

Les deux dirigeants ont également discuté d’un certain nombre de questions importantes sur l’Irak, l’Iran, des derniers développements entre Israëliens et Palestiniens et du changement climatique.

Les deux pays ont aussi signé un traité de sécurité qui autorise l’Australie à avoir accès à la technologie militaire secrète américaine.

M. Bush est arrivé mardi soir à Sydney pour participer à la conférence des dirigeants du Forum de Coopération économique Asie- Pacifique (APEC), qui s’y tiendra du 8 au 9 septembre.

Source Xinhua

Le président nigérien rencontre le président Afrique et moyen-orient du groupe Areva septembre 5, 2007

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Le président nigérien Mamadou Tandja a rencontré mardi à Niamey le président Afrique et moyen- orient du groupe Areva, Zephirin Diabre.

Devant la presse, M. Diabre a déclaré qu’il était venu dans le cadre du renforcement des liens de coopération entre le Niger et son groupe.

« Cette visite intervient au moment ou les relations entre le Niger et Areva traversent depuis un certain temps, quelques difficultés. Pour cela, il est important de rencontrer le chef de l’Etat pour requérir ses conseils sur les voies et moyens de rétablir la confiance », a-t-il indiqué.

M. Diabre a par ailleurs déclaré que cette visite était aussi une occasion de mettre pièce à certaines accusations non fondées et injustifiées qui sont portées sur son groupe par rapport à la situation d’insécurité qui prévaut dans le nord du Niger.

« Le Niger nous est très cher à la fois pour les raisons de développement des activités minières que pour son développement économique et social », a-t-il souligné.

Areva exploite depuis des décennies à travers la somair et la cominak, les mines d’uranium dans la région d’Agadez.

Source Xinhua

Une compagnie pétrolière émiratie découvre pour la première fois du pétrole dans le sud de l’Egypte septembre 5, 2007

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L’entreprise émiratie Dana Gas, la première compagnie gazière privée dans la région du Moyen- Orient, a découvert pour la première fois du pétrole dans le sud de l’Egypte, a rapporté mercredi la journal local Gulf News.

Du pétrole a été découvert dans le puits d’exploration Al Baraka-1 de Dana Gas, situé à Komombo en Haut Egypte, à 700 km du Caire, selon le reportage.

Le puits d’exploration Al Baraka-1, d’une profondeur de 2.655 mètres, a été percé par une division de Dana Gas, la Centurion Petroleum Corporation. Il traverse plusieurs couches pétrolières.

Dana Gas est pour l’instant le 6e producteur de gaz naturel en Egypte qui a doublé ses réserves de gaz, à hauteur de près de 2 billions de mètres cubes, au cours de cinq dernières années.

La compagnie devrait posséder 12 puits d’exporation en Egypte à la fin de 2007.

Source Xinhua

Appel d’offres pour l’extraction de pétrole en Libye: Gazprom, LUKOIL et NOVATEK sur les rangs. septembre 5, 2007

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Les compagnies russes Gazprom, LUKOIL et NOVATEK participeront à l’appel d’offres pour le choix de l’opérateur des gisements de pétrole de Libye dans le cadre du quatrième round de la répartition des contrats par l’Etat, lit-on dans un communiqué de la National Oil Corporation (NOC) de Libye.

Au total, 35 compagnies ont été sélectionnées, y compris des groupes russes et un ukrainien – Neftegaz (compagnie nationale du pétrole et du gaz d’Ukraine), ainsi que Gaz de France, ExxonMobil, Wintershall, Statoil, Sonatrach, OMV, Shell, BP, Eni, Chevron, Petronas, ONGC et RWE.

La Libye a également établi la liste des 21 compagnies qui pourront participer à l’étape suivante du concours pour le droit d’investir dans les projets d’extraction. Ce sont, entre autres, MOL, Hellinic Petroleum, Oil India, Japan Petroleum, Mitsubishi Corp. et Mitsui Oil, ainsi que Korea Gas, Nippon Oil, Centrica, E.On et Fenosa.

La Libye occupe la première place en Afrique et la cinquième parmi les pays membres de l’OPEP (après l’Arabie Saoudite, le Koweït, les Emirats arabes unis et l’Irak) pour les réserves prouvées de pétrole léger faiblement sulfureux : 5,1 milliards de tonnes.

Les réserves prouvées de gaz naturel de la Libye constituent environ 1049 milliards de m3 (quatrième place en Afrique après l’Algérie, le Nigéria et l’Egypte). La Libye extrait 80,1 millions de tonnes de pétrole et 11,7 milliards de m3 de gaz par an. 83% du gaz extrait sont consommés à l’intérieur du pays, les 17% restants sont exportés.

La Compagnie nationale libyenne du pétrole et du gaz NOC fondée en 1970 assure actuellement la prospection et l’exploitation d’hydrocarbures sur le territoire de la Libye. Elle possède un complexe pétrochimique à Ras Lanouf et plusieurs raffineries de pétrole.

 

Source Ria Novosti

Projet de Gassi Touil- Sonatrach résilie le contrat avec Repsol YPF et Gas Natural septembre 5, 2007

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Encore un épisode de désaccord entre l’Algérie et l’Espagne en matière de coopération énergétique. Après les litiges autour du projet Medgaz et du prix du gaz, le ton monte de nouveau entre les deux pays sur une autre question d’ordre énergétique, à savoir le projet gazier Gassi Touil, l’un des projets phares de coopération entre les deux pays et dont l’investissement dépasse les deux milliards de dollars (1,6 milliard d’euros, dont une partie consommée).

Lundi dernier, à la surprise générale, Sonatrach, qui a déjà décidé en juillet de saisir les tribunaux espagnols et la Commission européenne au sujet du contentieux du projet Medgaz, a averti l’autorité boursière espagnole (CNMV) de sa décision d’annuler l’accord signé en 2004 avec les groupes Repsol YPF et Gas Natural concernant ce projet, selon des informations rapportées par les agences. Et ce, pour une première mise en gaz en novembre 2009, selon les clauses du contrat entre les deux parties. Le contrat qui vient d’être résilié par Sonatrach (qui n’a pas encore rendu publique sa décision en Algérie) est, à titre indicatif, le premier du genre à avoir été accordé à des compagnies étrangères en Algérie.

Il prévoyait initialement la construction d’un méga train de GNL (gaz naturel liquéfié) à Arzew d’une capacité annuelle de 4,5 millions de tonnes. Finalement, c’est le blocage du côté algérien. Un blocage qui n’arrange guère les sociétés espagnoles impliquées dans le projet. D’ailleurs, Repsol YPF et Gas Natural ont dénoncé hier, dans un communiqué commun, la décision de Sonatrach, jugeant «illégitime et illégal» le choix de l’Algérie de réaliser le projet en solo.

Les deux groupes ont même affirmé vouloir défendre leurs intérêts en soumettant la question à un arbitrage international, et avoir l’intention de demander des dommages et intérêts, trois ans après la signature du contrat pour une période de trente ans. Pour mener à bon port ce projet, une compagnie commune avait été créée au sein de laquelle Repsol détenait 48% des parts, Gas Natural 32% et Sonatrach 20%.

Commentant le choix de Sonatrach, les spécialistes espagnols, notamment les politologues, comme c’est le cas de Cezar Vidal, estiment qu’il s’agit d’une décision «strictement politique». Jetant la balle dans le camp espagnol, M. Cezar Vidal accuse le gouvernement espagnol de commettre des «bévues» sur la scène internationale.

«L’Espagne a traditionnellement mené une politique équilibrée dans la région du Maghreb, malgré des relations difficiles avec le Maroc et l’Algérie, ce qui permettait d’entretenir des relations de bon voisinage avec l’ensemble des pays de la région, et notamment d’obtenir des contrats fructueux», a commenté M. Vidal. Cependant, la phase de l’équilibre est en train de s’effacer, selon le politologue qui n’a pas manqué de faire remarquer : «Ces dernières années, cet équilibre a été rompu, suite au changement de cap pris par le gouvernement socialiste qui s’est orienté vers un rapprochement unilatéral avec Rabat, ce qui a suscité le mécontentement de nos partenaires algériens.»

«L’année dernière, l’Algérie a augmenté les prix du gaz naturel qu’elle nous livrait, avant de rompre ce contrat avantageux. Ces décisions reflètent le mécontentement suscité par la rupture de l’équilibre politique qui unissait Madrid à ses partenaires du Maghreb», a ajouté le politologue. De manière globale, beaucoup de points restent à éclaircir à l’issue de cette décision qui commence déjà à affecter les entreprises espagnoles. Car, les valeurs de Gas Natural et de Repsol YPF baissaient sensiblement hier à la Bourse de Madrid, c’est-à-dire au lendemain de l’annonce par Sonatrach de la rupture du contrat. Hier, selon les agences espagnoles, l’action de Gas Natural, le premier groupe gazier espagnol, reculait de 1,55% à 38,01 euros dans un marché en baisse de 0,49%, alors que le pétrolier Repsol YPF baissait de 0,95% à 26,20 euros.

 

Source All Africa

L’Inde et l’Iran sur le point de négocier un projet de constructionde gazoduc septembre 5, 2007

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L’Inde et l’Iran sur le point de négocier un projet de constructionde gazoduc NEW DELHI, 5 septembre (XINHUA) — De hauts officiels de l’Inde et de l’Iran vont se rencontrer cette semaine pour négocier un projet de construction d’un gazoduc qui traverserait le Pakistan, a rapporté vendredi l’agence Press Trust of India (PTI).

Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Mahdi Safarin, qui devrait arriver vendredi à New Delhi, rencontrera le ministre indien des Affaires étrangères, Pranab Mukherjee, et le ministre du Pétrole, Murli Deora, a indiqué l’agence PTI.

La visite de M. Safari fait suite à celle de son homologue indien, E Ahamed, en Iran.

Dans le cadre de cette visite, les deux parties discuteront du projet de gazoduc, a indiqué l’agence PTI.

Le projet d’une valeur de 6 milliards de dollars américains est crucial pour l’Inde, qui compte fortement sur les importations d’énergie pour son économie florissante.

Les Etats-Unis se sont opposés à ce gazoduc, mais New Delhi a déclaré ne pas vouloir que l’amélioration des relations avec Washington affecte les relations étroites que le pays entretient par tradition avec Téhéran.

Source Xinhua