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Brésil : début de la construction d’une raffinerie, sans le Venezuela août 31, 2007

Posted by starbucker in Brésil, Pétrole, Vénézuela.
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Le gouvernement brésilien a donné le feu vert à la construction de la raffinerie Abreu e Lima dans l’Etat du Pernambourc (nord-est) dont le coût est estimé à 4,05 milliards de dollars sans la participation du Venezuela initialement prévue.

La chef de cabinet à la présidence, Dilma Roussef, a indiqué que les travaux commenceraient mardi prochain, mais n’a pas confirmé la participation du Venezuela co-fondatrice du projet.

La raffinerie est le fruit d’un accord entre les compagnies d’Etat Petrobras et Pétroles du Venezuela (PDVSA). La contrepartie pour le Brésil était sa participation dans le champ pétrolifère Carabobo du bassin de l’Orénoque qui recèle d’immenses réserves de brut lourd.

Le projet de création de ces entreprises mixtes ne s’est pas concrétisé et « en attendant, Petrobras donne le coup d’envoi au projet de la raffinerie », a dit vendredi à l’AFP un reponsable de la compagnie.

Petrobras a envoyé il y a un mois les documents à PDVSA pour créer les deux entreprises mixtes mais n’a pas obtenu de réponse.

« Si l’association ne se confirme pas, Petrobras ne raffinera que du pétrole lourd brésilien », a souligné le porte-parole.

Les président du Venezuela, Hugo Chavez, et du Brésil, Luiz Inacio Lula da Silva, avaient posé en 2005 la première pierre de cette raffinerie située près de Recife, la capitale du Pernambouc (nord-est), mais le projet ne s’est ensuite pas concrétisé.

Source AFP

Téhéran réfléchit à d’autres candidats pour achever la centrale de Bouchehr août 31, 2007

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L’Iran est en train de réfléchir à « d’autres candidats » qui pourraient achever la construction de la centrale nucléaire de Bouchehr si « des problèmes surviennent » avec la Russie en charge du projet, a affirmé un haut responsable iranien, cité vendredi par un quotidien russe.

« L’Iran souhaite que le projet de la centrale de Bouchehr soit achevé à temps et précisément par la Russie », a souligné Ali Akbar Jawanfekr, conseiller du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, cité par le quotidien russe Gazeta.

« Mais l’Iran est déjà en train d’étudier d’autres candidats pour achever la construction de la centrale de Bouchehr, au cas où de nouveaux problèmes surviendraient avec ce projet », a-t-il ajouté.

Le responsable n’a pas précisé quels étaient les pays candidats.

Des responsables russes avaient indiqué fin juillet que l’achèvement de la centrale de Bouchehr, dans le sud de l’Iran, allait être retardé d’au moins un an, à l’automne 2008.

Au début de l’année, Moscou a accusé l’Iran de ne pas verser les sommes prévues par un accord de septembre 2006 pour la construction de la centrale, ce qu’a démenti Téhéran. Ce même accord fixait à l’automne 2007 la mise en service de la centrale.

La Russie a entamé en 1995 la construction de Bouchehr. L’achèvement des travaux et la livraison du combustible nucléaire ne cessent depuis d’être retardés, alors que les Etats-Unis redoutent que le site ne soit utilisé à des fins militaires.

Source AFP

Les grandes manoeuvres autour du capital d’Areva commencent août 31, 2007

Posted by starbucker in France, Nucléaire.
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Après une petite phrase de Nicolas Sarkozy hier, Anne Lauvergeon prône l’ouverture du capital d’Areva tandis qu’une note du CEA, premier actionnaire du groupe nucléaire, dévoile trois scénarios d’évolution du capital. Le groupe nucléaire français a enregistré une hausse de 80% de son résultat opérationnel au premier semestre à 230 millions d’euros, inférieur aux attentes du groupe.

« Le développement d’Areva nécessite des moyens importants. Une évolution du capital paraît la meilleure solution », déclare Anne Lauvergeon aujourd’hui. La présidente du directoire d’Areva, qui a toujours plaidé pour une ouverture de son tour de table voire une privatisation du leader mondial du nucléaire, prend la parole alors que plusieurs déclarations semblent indiquer que les grandes manoeuvres commencent autour du capital d’Areva.

Celui-ci est public à près de 85%, dont 5,2% appartenant à l’Etat et 79% au Commissariat à l’Energie Atomique (CEA). 4% relèvent de certificats d’investissements, cotés à la Bourse de Paris.

Hier, dans son discours devant l’université d’été du Medef, Nicolas Sarkozy a souhaité « donner les moyens de se développer  » aux « entreprises magnifiques » du secteur nucléaire. Il a aussi estimé que « des choix stratégiques (seraient) à faire en matière d’énergie » nucléaire. Et la pression s’accélère aujourd’hui. Ce matin, Martin Bouygues « souhaite pouvoir jouer un rôle dans le développement d’une filière nucléaire française ». Il propose un mariage à trois: « Avec la participation d’ Alstom et le savoir faire de Bouygues et d’Areva, il y a de quoi faire un pôle nucléaire français ». Il ajoute: « Si on nous invite à discuter ou à faire des propositions, nous le ferons ». Cette alliance figure parmi les hypothèses depuis l’élection de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République.

Elle figure aussi parmi les scénarios évoqués dans une note rédigée par Alain Bugat, administrateur général du CEA, premier actionnaire d’Areva. Dans ce texte, révélé par les Echos, il décrit les trois scénarios de refonte du capital d’Areva « acceptables ». Le premier est « la poursuite du « stand alone » (rester seul). L’ouverture du capital est limitée et les filiales sont détenues à 100%. Alors, le CEA céderait 29% du capital, dont il détient actuellement 79%, tandis que les 34% détenus par le groupe industriel allemand Siemens dans la filiale Areva NP (activités réacteurs) seraient convertis en une participation de 8% dans le holding de tête

Deuxième scénario, la création d’un grand groupe nucléaire international, avec une base capitalistique franco-japonaise, mais avec le maintien d’un contrôle public majoritaire. Dans ce cas, Bouygues entrerait au capital d’ Areva NP à hauteur de 34%, tandis que les groupes français pétrolier Total et électrique EDF deviendraient des actionnaires clefs d’Areva NC (cycle de l’uranium), avec des acteurs tels que Siemens ou le groupe japonais Mitsubishi qui monteraient au niveau du holding.

Enfin, troisième hypothèse, la création d’un « grand groupe privé français équipementier du domaine de l’énergie, avec le maintien d’un contrôle public majoritaire (sur les seules) activités stratégiques ». Le groupe serait alors privatisé et fusionné avec Alstom.Siemens sortirait du capital et serait remplacé par Mitsubishi.

Ces manoeuvres se déroulent alors qu’Areva a annoncé hier jeudi un bond de 80% de son bénéfice opérationnel au premier semestre à 203 millions d’euros, en raison d’une nette amélioration de sa marge opérationnelle. Cette dernière s’élève à 3,9% contre 2,3% l’an passé. Le bénéfice net affiche une hausse de 20% à 295 millions d’euros. « Le groupe a amélioré l’ensemble de ses résultats. Notre croissance est soutenue, et notre profitabilité s’est renforcée de manière significative, tant au niveau du résultat opérationnel qu’au niveau du résultat net », s’est félicité Anne Lauvergnon, présidente du directoire d’Areva.

Le chiffre d’affaires a pour sa part progressé de 6,7% (6,4% en données comparables) pour atteindre 5,37 milliards d’euros. « Cette dynamique va se poursuivre », a estimé Anne Lauvergnon. « Notre carnet de commandes atteint aujourd’hui plus de 33 milliards d’euros, contre 26 milliards il y a six mois, soit une progression de 31%, et 21 milliards fin 2005: le modèle intégré d’Areva marque des points partout dans le monde ».

Areva a par ailleurs annoncé une nouvelle provision pour faire face aux difficultés qu’il rencontre dans la construction du réacteur EPR en Finlande. Celui-ci ne devrait entrer en service qu’en 2011, soit avec deux ans de retard par rapport au calendrier initial. « Le projet progresse désormais à un rythme soutenu. Compte tenu du caractère ‘tête de série’ et du processus spécifique d’approbation des documents techniques, le chemin critique est tendu même si les conditions d’exécution sont en forte amélioration », a précisé le groupe nucléaire français dans son communiqué.

Cette nouvelle provision, dont le montant n’a pas été précisé, pèse sur la progression attendue du résultat opérationnel d’Areva, mais le groupe ne remet pas en cause ses objectifs annuels et table toujours sur une marge opérationnelle de 5% sur l’ensemble de l’exercice.

 

Source La Tribune.fr

La fusion GDF-Suez serait imminente août 31, 2007

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La fusion entre GDF et Suez serait imminente. Après 18 mois d’un feuilleton politico-industriel à multiples rebondissements, l’opération sera officiellement annoncée lundi par le gouvernement, a affirmé vendredi « Le Point » sur son site Internet, alors que « La Tribune.fr » parlait d’un bouclage des négociations ce week-end.

Suez accepterait de céder une partie de son pôle environnement, selon les deux sites. Le groupe franco-belge en conserverait 34%, précise « Le Point.fr ».

Le porte-parole de l’Elysée David Martinon s’est refusé à tout commentaire sur ces informations, tout comme Bercy et GDF. Le groupe Suez ne faisait pas de commentaire dans l’immédiat.

Selon « La Tribune.fr », « il reste encore quelques modalités financières à régler mais sur le fond, la fusion est bouclée ». Le PDG de Suez Gérard Mestrallet « mène depuis hier, avec l’aval de son conseil d’administration, des discussions avancées avec l’Elysée pour que la fusion entre son groupe et GDF aboutisse ».

Le PDG de Suez serait prêt à revenir sur son refus de céder son pôle environnement. Il aurait proposé une cession partielle de cette branche dans une lettre adressée le 21 août dernier à Nicolas Sarkozy, selon « La Tribune.fr ».

Nicolas Sarkozy a annoncé jeudi dans son discours devant le MEDEF avoir « proposé à Suez de fusionner ses activités énergétiques avec Gaz de France », et attendre la réponse des actionnaires de Suez. Cette fusion limitée aux activités énergétiques signifierait que Suez devrait céder sa branche environnement, une cession à laquelle Gérard Mestrallet était jusque là opposé.

Nicolas Sarkozy n’avait pas pris position depuis son élection en mai sur le projet de fusion entre Suez et Gaz de France, lancé en février 2006 par Dominique de Villepin, et jugé de plus en plus compromis par les observateurs.

Le porte-parole du gouvernement Laurent Wauquiez avait fait savoir mercredi que le président de la République se prononcerait d’ici « la fin du mois de septembre », quand il aurait « l’ensemble des éléments, et notamment la position de Suez sur un certain nombre de sujets ».

Une annonce en début de semaine prochaine de l’opération conclurait 18 mois d’un feuilleton riche en rebondissements. La fusion GDF-Suez avait été annoncée en février 2006 par Dominique de Villepin pour contrer une éventuelle offre hostile de l’Italien Enel et créer un champion français de l’énergie au nom du « patriotisme économique ».

Le projet s’est d’abord heurté à la fronde d’une partie de l’UMP et à l’hostilité des syndicats et de la gauche vis-à-vis de la privatisation de GDF. Finalement approuvé le 8 novembre 2006 par le Parlement après deux mois de marathon parlementaire, le projet a subi un nouveau contretemps avec la décision du Conseil constitutionnel de différer la fusion au 1er juillet 2007, date de l’ouverture à la concurrence du marché européen de l’énergie.

Jusqu’à son discours de jeudi à l’université d’été du MEDEF, Nicolas Sarkozy, qui s’était rallié tardivement au projet de fusion, était resté muet sur le sujet. Le chef de l’Etat était d’autant plus embarrassé qu’il s’était engagé à ne pas privatiser GDF lorsqu’il était ministre de l’Economie en 2004.

 

Source AP

100 mds USD d’investissements pour exploiter le secteur russe de la mer Caspienne. août 31, 2007

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L’exploitation du secteur russe de la mer Caspienne nécessitera 100 milliards de dollars d’investissements, a répondu le premier vice-premier ministre russe Sergueï Ivanov interrogé par les journalistes vendredi.

Plus tôt, le directeur général de Lukoil-NijneVolskNeft Nikolaï Nikolaïev, qui a pris la parole à la conférence consacrée au développement des constructions navales sur la Caspienne, a relevé que d’ici 2020, la production de pétrole et de gaz dans le secteur russe de la mer serait de 30 millions de tonnes et de 20 milliards de mètres cubes respectivement.

Selon ses évaluations, les réserves de cette nouvelle zone pétrogazière constituent de 4 à 5 milliards de tonnes de combustible conventionnel. Dès 2009, les travaux de forage débuteront sur le gisement Kortchaguine, dès 2012 sur le gisement Filanovski et en 2015 la production de gaz sera lancée sur le gisement Khvalynskoyé dont les réserves sont évaluées à 300 milliards de mètres cubes.

Pour travailler sur ces gisements, il est nécessaire de construire 50 plateformes de forage et plus de 100 bateaux-citernes. A l’heure actuelle, les sociétés russes Gazprom, Rosneft, Lukoil et le kazakh Kazmunaïgaz participent à l’exploitation du plateau continental russe dans la mer Caspienne.

 

Source Ria Novosti

Roussneft intéressée à l’exploitation de gisements en Azerbaïdjan août 31, 2007

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Le vice-premier ministre russe Sergueï Narychkine, chef de l’appareil du gouvernement, confirme l’intéressement de Roussneft à l’exploitation de gisements en Azerbaïdjan.

« Comme nous l’avons constaté aujourd’hui, les compagnies pétrolières russes sont intéressées à l’exploitation de gisements de pétrole en Azerbaïdjan, la compagnie Roussneft est mentionnée dans ce contexte », a déclaré Sergueï Narychkine aux journalistes à l’issue des négociations avec les dirigeants azerbaïdjanais à Bakou.

La compagnie pétrolière nationale azerbaïdjanaise SOCAR (State Oil Company of Azerbaïdjan) et Roussneft, l’une des dix grandes compagnies pétrolières russes, ont conclu en novembre 2006 un accord sur l’exploitation du bloc de gisements de Zikh-Hovsana. Le contrat a été conclu pour 25 ans avec possibilité de le proroger de 5 ans.

Les investissements dans l’exploitation des gisements sont évalués à 100-150 millions de dollars, dont 10% à 15% seront employés pour la protection de l’environnement, le règlement des problèmes de la sécurité du travail, etc.

Les gisements de Zikh et de Hovsana sont situés dans le Sud de la presqu’île d’Apchéron (littoral Ouest de la Caspienne). A ce jour, 9 puits fonctionnent dans le gisement de Zikh et 17 puits, dans le gisement de Hovsana.

Le gisement de Zich a été découvert et mis en exploitation en 1935. Le gisement de Hovsana est en exploitation depuis 1948.

 

Source Ria Novosti

Reprise possible des livraisons de gaz russe à l’Azerbaïdjan août 31, 2007

Posted by starbucker in Azerbaïdjan, Gaz, Russie.
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Le vice-premier ministre russe Sergueï Narychkine, chef de l’appareil du gouvernement russe, n’exclut pas, en perspective, la reprise des livraisons de gaz russe à l’Azerbaïdjan qui ont cessé l’année dernière.

« La possibilité d’une reprise des livraisons n’est pas exclue », a-t-il déclaré vendredi aux journalistes à l’issue de ses entretiens avec les dirigeants azerbaïdjanais.

La question des rapports bilatéraux dans le secteur gazier n’est pas simple, a-t-il expliqué, ajoutant que cela avait été le premier sujet abordé au cours des négociations.

« C’est un sujet délicat », a souligné Sergueï Narychkine.

Au cours de l’examen des raisons de la cessation par la Russie des livraisons de gaz à l’Azerbaïdjan, les parties ont constaté qu’il s’agissait d’un problème économique qui ne devait pas empêcher le développement des rapports bilatéraux, a-t-il dit.

« Le secteur énergétique est le plus important dans notre coopération », a poursuivi Sergueï Narychkine.

Le président azerbaïdjanais Ilham Aliev a déclaré en décembre dernier que son pays pouvait renoncer aux achats de gaz russe, et que l’Azerbaïdjan pouvait modifier l’alimentation de ses centrales électriques en passant d’un schéma mazout-gaz au tout mazout.

Rovnag Abdoullaïev, chef de la compagnie pétrolière nationale d’Azerbaïdjan, avait alors affirmé que l’Azerbaïdjan n’achèterait pas de gaz russe au prix de 235 dollars les mille m3.

Alexandre Medvedev, vice-président du directoire de Gazprom, avait par la suite indiqué que Gazprom interprétait le silence gardé par l’Azerbaïdjan sur le volume des achats de gaz russe en 2007 comme le renoncement à ces achats.

En 2006, l’Azerbaïdjan disposait de 11,3 milliards de m3 de gaz, dont 4 milliards extraits par la compagnie pétrolière nationale, et 2 milliards par AMOK (société internationale). Son entrepôt souterrain contenait environ 800 millions de m3 de gaz et il en a importé 4,5 milliards de m3.

En 2005, le gaz russe a été livré à l’Azerbaïdjan au prix de 60 dollars les mille m3, depuis 2006, à 110 dollars les mille m3.

 

Source Ria Novosti

La Biélorussie entend construire une centrale nucléaire avec le concours de ses voisins de la CEI. août 31, 2007

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La Biélorussie mettra en service le premier réacteur nucléaire en 2015 au plus tôt. « A présent, des travaux préparatoires à la construction d’une centrale nucléaire sont en cours. Nous travaillons pour décider définitivement, où et quelle centrale nucléaire doit être construite et par qui », a annoncé jeudi devant les journalistes à Minsk le chef du département du développement durable du ministère biélorusse de l’Energie Vladimir Bobrov.

Une décision sur la construction d’une centrale nucléaire pourrait être prise, a-t-il dit, mais il est difficile de la mettre en œuvre rapidement. « Je ne dirai pas que le premier réacteur sera mis en service d’ici à 2013, je pense que d’ici à 2015 au plus tôt, et pour parler franchement d’ici à 2017, et le deuxième réacteur d’ici à 2020 », a-t-il déclaré.

La Biélorussie décidera le plus probablement de construire une centrale nucléaire par des efforts consolidés, se fondant sur l’expérience de pays étrangers. « Les processus intégrationnistes qui se produisent dans le cadre de la Communauté économique eurasienne nous permet d’ impliquer nos voisins de la CEI »,a-t-il indiqué.

Etant donné les nouvelles conditions de livraison d’hydrocarbures en Biélorussie, le gouvernement examinera à la mi-septembre une nouvelle rédaction de la Convention sur la sécurité énergétique, un programme rénové de reconstruction et de modernisation des fonds fixes du système énergétique biélorusse, et l’augmentation de la part des hydrocarbures nationaux.

Le projet prévoit 3,1 milliards de dollars d’investissements contre 2,55 milliards stipulés dans le programme précédent. Le nouveau programme prévoit notamment de diversifier les livraisons d’hydrocarbures.

 

Source Itar-Tass

L’Inde ne veut pas rater le « bus nucléaire » août 31, 2007

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Le Premier ministre indien Manmohan Singh a souligné vendredi que New Delhi ne voulait pas rater « le bus nucléaire ».

Il a expliqué sa position sur ce dosser, lorsque son parti du Congrès a promis de réexaminer l’accord conclu avec les Etats-Unis sur le nucléaire civil afin de calmer les partis de gauche qui ont menacé de retirer leur soutien au gouvernement, si l’accord est mis en application.

« Nous ne pouvons rater le bus (nucléaire) ni tomber en arrière de ces développements planétaires », a déclaré le Premier ministre, tout en écartant la possibilité d’abandonner l’accord conclu avec les Etats-Unis.

Il a évoquant les deux nouveaux réacteurs nucléaires à Tarapur, dans l’Etat de Maharashtra, dans l’ouest du pays.

L’Inde est un pays tellement important qu’il ne peut rester en dehors du courant principal du nucléaire international, a martelé M. Singh.

« Lorsqu’un pays de la taille de l’Inde entame une croissance de l’ordre de 9% par an, avec une perspective d’un rythme encore plus élevé, l’énergie devient une question cruciale », a-t-il souligné.

Ratifié aux Etats-Unis en 2006 avant d’être finalisé fin juillet, l’accord sur le nucléaire civil est la pierre angulaire du rapprochement entre New Delhi et Washington, après les tensions de la Guerre froide.

Conformément à ce pacte, l’Inde bénéficiera des exportations américaines de combustibles, technologies et réacteurs nucléaires civils. En échange, l’Inde placera ses réacteurs civils sous le contrôle de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).

Cet accord a toutefois été boycotté par certains partis de gauche, dont le soutien s’avère crucial pour la survie du gouvernement de M. Singh et qui avertit que New Delhi risque, par la mise en place de l’accord conclu avec Washington, de perdre sa souveraineté, surtout en ce qui concerne son droit de procéder à d’autres essais atomiques après ceux de 1974 et 1998.

Source Xinhua

L’Angola construit un centre de réserve de pétrole dans la province orientale du pays août 31, 2007

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L’Angola construit un centre de réserve de pétrole dans la provinceorientale du pays LUANDA, 31 août (XINHUA) — La compagnie pétrolière angolaise appartenant à l’Etat, Sonangol, construit actuellement un centre de réserve de pétrole dans la province orientale de Moxico, avec une capacité de stockage de 3 millions de litres de carburant plus 3 000 bonbonnes de gaz, a déclaré vendredi un officiel de Sonangol.

Pedor Panzo, chef du bureau régional de Sonangol dans la province de Moxico, a déclaré aux journalistes que le centre, qui a coûté de 8 millions de dollars américains, servira non seulement à Moxico, mais également aux autres provinces orientales (Luanda Sul, Luanda Norte), afin de promouvoir la croissance économique de cette région.

D’après ce responsable, le gouvernement angolais a également versé beaucoup d’argent pour réhabiliter le chemin de fer est- ouest, reliant Moxico à Benguela, ainsi que les principales routes trans-provinciales de la région, afin de relier la région est à la côte du pays dans l’ouest.

 

Source Xinhua